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 HemogloBine

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Hannibal Butterfly
Médecin des Black Cross
Médecin des Black Cross
Hannibal Butterfly


Messages : 6
Date d'inscription : 27/12/2009

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MessageSujet: HemogloBine   HemogloBine Icon_minitime1Dim 27 Déc - 2:23

Présentation du personnage


Nom & Prénoms : Butterfly M.D. (Medecin Doctor), Hannibal Nathanael

Âge : 17 ans

Physique :
Sourire. Regard. Cheveux.
« L’homme est ainsi fait qu’il est d’ors et déjà, à la naissance, biologiquement parfait. Du moins, si ses parents n’ont pas déjà une tare génétique, ou qu’il n’est pas survenu quelque accident malencontreux pendant la période d’incubation intra-utérine du fœtus. Et c’est après la naissance que l’on peut juger si le dit spécimen d’Homo Sapiens Sapiens est physiquement parfait, ou si, par génétique ou par des accidents extra-utérins futurs, il est considéré, par ses partenaires sociaux, comme « banal », « laid », « repoussant » ou même pas digne d’être décrit autrement que part une contraction dégoutée du visage. Car en effet, socialement, la beauté est une chose extrêmement importante. » Dr Butterfly, Essai ‘De la beauté Humaine’

Hannibal, lui, est considéré par ses semblables comme une personne ayant ce que l’on désigne habituellement « une beauté calme ». Malgré son tempérament, son visage ne semble être que rarement sujet à de violentes émotions comme la rage ou la folie triviale. Habituellement calme et serein, l’inexpressivité sympathique de ce visage, ou masque social, est souligné par le sourire spécial du jeune Docteur en médecine. Des dents totalement rangées, presque carrées. La particularité de ce sourire, au demeurant à la fois si rare et si commun, c’est la différence qu’il y a entre le sourire timide et calme quotidien, et le grand et mince sourire étiré du médecin ou de l’être vil ayant trouvé un sujet intéressant. Butterfly est aussi doté d’un regard serein, émanant de deux globes oculaires bleus glace, un regard béat ou énigmatique qui semble silencieux même lorsqu’Hannibal part dans une de ses tirades sur la beauté. Alors que le regard d’un autre vibrerait aux mots caractérisant sa passion, le sien semble concentré directement sur l’objectif que ce jeune homme a en tête. La couleur de ses yeux, bleus glace, ciel ou fleur de printemps, tranche avec ses cheveux châtains sombres. Ce contraste, entre cette couleur banale et le regard assez peu commun du docteur rajoute à l’aura énigmatique qui plane autour d’Hannibal. Par ailleurs, il possède un corps fin, qu’il muscle deux à trois fois par semaines pour s’entretenir, de longs membres filiformes avec des doigts fins et habiles de chirurgien au bout, et un visage finement taillé. On peut noter le tatouage de papillon sous l’œil droit, symbolisant son amour pour ces êtres si beaux.

Habits. Maintien. Voix.
« Mais malgré la perfection corporelle de l’homme, des normes sociales, culturelles et esthétiques l’ont amené à se vêtir. Se vêtir physiquement, premièrement. Des beaux atours aux oripeaux immondes, on peut trouver de par le monde toutes sortes d’accoutrements, certains soulignant la charge ou la fonction sociale, comme les robes d’avocats ou les tenues princières, d’autres ne servant qu’à embellir la personne, cachant ses défauts possibles dans de magnifiques parures. Se vêtir socialement, est possible aussi. Se revêtir de mouvements-réflexes indiquant, de par la stature prise si vous êtes un combattant, un noble, un scientifique, un orateur ou une faible personne. » Dr Butterfly, Essai ‘De la beauté Humaine’

Des vêtements séparés en deux couches ou classifications : les sombres sobres et les bariolés amusants. La première couche étant toujours extérieure, comme quand un papillon referme ses ailes en une. Un manteau sombre, près de son corps maigre, aux manches assez courtes pour se terminer à la moitié de l’avant-bras, pour ne pas être tachées en opération s’il est dans l’obligation de garder ce vêtement, ou une blouse blanche de médecin, en tout cas, un haut extérieur avec de nombreuses poches. Au pied, des rangers, sortes de Doc Martens noires solides et ferrées, parfaites pour les marches et les coups de pieds. En dessous, des chemises aux couleurs d’arlequin, de clown, ou aux sigles de papillons voletants, et des chaussettes du même acabit. Il porte par ailleurs une montre à gousset attachée à une chaîne noire à sa ceinture, outil de médecin par excellence pour connaitre le poul, et toujours au moins deux paires de gants en élastique en plus de sa paire de gants en cuir noir (avec des lamelles-boucliers fines placées entre le rembourrage fin et le cuir, pour protéger les doigts du chirurgien.) Son écharpe, en fine toile tissée main dans une île du sud et ayant un joli motif écossais, il ne s'en sépare jamais en extérieur, à cause de sa peur des maladies qu'il pourrait attraper à cause d'une défense corporelle amoindrie par le froid.
Le médecin Butterfly possède un maintien à la fois banal et imposant le respect, de par sa nonchalance suspecte n’annonçant généralement rien de bon à l’interlocuteur. D’une démarche souple, il est parfois sujet à des mouvement semblant défier la gravité ou la souplesse des vertèbres pour éviter un coup ou un piège, dû à sa souplesse articulaire innée à cause d’un maladie génétique connue sous le nom de syndrome de Marfan. Nous conclurons sur sa voix singulière, une voix de chanteur pouvant passer d’une basse abyssal à contre-ténor admirable, le dotant d’un talent d’imitation et de chant assez sympathique. Il ne possède par ailleurs aucun accent décelable et est totalement incapable de prendre l'affection de n'importe quel patois, trouvant ces accents totalement impurs comparé à la beauté de la langue bien parlée.

Caractère : A moins que vous ne soyez un abruti profond, vous avez sans doute deviné que le Docteur en médecine Hannibal N. Butterfly possède un caractère assez spécial. Certes, chaque humain pense ça de lui. "Oh mon dieu, j'aime le bleu alors que la mode est au vert, je suis spécial" "J'aime les pamplemousses" "Je m'habille différemment des autres débiles". Oui, certes. Mais quand il s'agit d'un médecin ayant des connaissances approfondies dans l'occulte dont le passe-temps favori est de tester des incantations nécromanciennes sur des cadavres trouvés à la morgue. Quand il s'agit d'un être surdoué qui est fasciné par la beauté, dans l'Art, la Femme, l'Homme...la Mort, le Sang, la Douleur, le Plaisir Sexuel, les concombres et les Papillons. Quand il s'agit d'un jeune homme pour le moins paradoxal, à la fois introverti et grandiloquent, on est en droit de le qualifier de spécial.

Premièrement, il y a le Médecin. Un jeune médecin consciencieux dont la mémoire phénoménale est un atout majeur lorsqu'il s'agit de ranger et étiqueter instruments, fioles et maladies. Pourtant, comme la plupart de ses collègues toubib, HB a une certaine tendance aux blagues morbides, à l'humour noir et à un cynisme mordant qui contraste beaucoup avec son masque facial si gentil. Malgré sa jeunesse et son certain manque d'expérience, il compense les deux par une certaine inventivité face aux divers problèmes et lacunes qu'il pourrait rencontrer, s'étant même forcé à recopié en écriture sténographiée son dictionnaire des maladies en neuf volumes pour qu'il tienne dans un seul, magnifique grimoire relié en cuir rouge. Pourquoi? "Pour que ça prenne moins de place entre les livres de nécromancie." Ouais, une raison normale, en somme. Ah? La raison qu'il a d'être médecin? Hm...il est doué, il aime le corps...oh? Le But? Uhuhu, ça, plus tard.

Deuxièmement, il y a l'Occultiste. Et oui, occultiste. Fasciné par les Arts Noirs...de pacotille, sans doute. Il s'essaye, généralement sans succès, à des expériences d'alchimie, de nécromancie ou de magie noire et rouge comme d'autre font de la popote ou des lego, pour le plaisir de faire quelque chose de "constructif" de ses dix doigts pendant ses moments libres. Occultiste du dimanche, certes, mais il n'empêche qu'en Demonologie, Bestiaire des mer, le cintré est incollable, et que parfois...ses immondes décoctions d'agent du Malin fonctionnent. (bon, généralement, c'est celles qu'il a prévu comme poison ou vomitif, mais on y peut rien)

Et troisièmement, il y a l'Artiste...morbide. On l'aura comprit, un toubib qui écrit un essai sur la Beauté est fasciné par elle. La beauté des yeux (il a une collection de globes oculaires dans du formol, collection nommée "Hecatonchire") la beauté des lèvres, douces, la beauté des créations humaines, et même des créations naturelles. Parmi ses petits chouchous, trônent en première place les papillons. Les lépidoptères, les fées naturelles...une marotte comme une autre, où excelle aussi. Il en possède une collection de planches qu'il a achetées, trouvées ou faites avec ses propres trouvailles. Il en possède aussi plusieurs vivants dans une serre qu'il admire parfois pendant des heures. Ah! Morbide, j'allais oublier de vous en parler. Car en effet, le salaud peint. Nan, pas le salopard...le salaud peint. Le galopin peint des toiles, qui sont...ignobles. Pour deux raisons: c'est un médecin. Les médecins ne savent pas utiliser les stylo, stylets et pinceaux. Sauf s'ils sont mauvais, mais en l'occurence...non. Et puis, il y a aussi les matériaux utilisé en lieu et place de peinture et gouache: le sang...plus précisément celui retrouvé sur des cadavres, généralement en décomposition. Vous imaginer l'horreur (et la puanteur) des créations déjà horribles à la vue. Étrangement, lui qui a un sens du beau si prononcé, il semble pouvoir aussi y trouver quelque chose d'intéressant.

D'un naturel calme et jovial, il ne parle pas beaucoup aux étrangers, aimant les conversation posées et réfléchies. Mais il ne faut pas se laisser abuser par cet état de fait, même s'il n'est pas un combattant de métier, si l'on le titille de trop près, on risque de s'en mordre les doigts...ou de ne plus en avoir, au choix. Hannibal a un sens de l'honneur au combat assez spécial, basé sur la beauté des attaques et de l'assaillant. Plus les attaques seront belles ou l'assaillant beau, plus il prendra plaisir à faire durer le combat...par contre, s'il se bat contre un rustre, un coup de bistouri à la va-vite dans la nuque risque de n'être que l'unique réponse du pirate.

Spécialité Combattant : Hannibal Butterfly est spécialiste, de par son métier, comme combattant au corps à corps avec des armes blanches du type couteau et à coups de pieds, pour ne pas abîmer ses mains. Il utilise généralement ses connaissances en anatomie pour infliger des dégâts plus ou moins critiques, selon sa cible et son but. Par conséquent, de par son agilité innée, son intelligence et sa discrétion de grand amoureux de la beauté, il aurait également été un très bon assassin au besoin.
Le style de combat du chirurgien est un mix entre la capoeira et le breakdance, un style assez bondissant auquel il ajoute sa maitrise du couteau papillon, aussi nommé Balisong.


Spécialité Métier : Médecin/Chirurgien, la nuance entre ses deux métiers est importante. Le chirurgien soigne, le chirurgien charcute...et dieu soit loué, Hannibal maitrise les deux.

Camp : Pirates


Dernière édition par Hannibal Butterfly le Mar 29 Déc - 19:36, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: HemogloBine   HemogloBine Icon_minitime1Dim 27 Déc - 2:24

Histoire :

Où suis-je donc né? Bonne question. Qui étaient mes parents? Qu'est-ce qu'on s'en fiche?
Oh, ne vous méprenez pas, je vous en prie. J'aimais ma mère, assurément. Une douce et gentille femme. Même mon père, à la rigueur...un petit médecin de campagne, on pourrait le trouver sympathique, oui. Mais pour mon histoire, mes géniteurs sont totalement inutiles, du moins, il me semble. Il faut juste savoir que j'ai appris très tôt des livres de mon père, que je préférais déjà aux mièvres livrets pour gamins, et que c'est de là, entre autres, que me vient sans doute mon attirance pour le corps humain, peut-être aussi de la fois où je vis par mégarde ma mère avec son amant. Oui, ma mère, gentille, douce...magnifiquement belle. Je pense que je me souviendrais de ses courbes toute ma vie.
Eux, ils se séparèrent et mon père me garda pour faire de moi un médecin, un vrai. Il fut mon premier prof, et sans doute un des plus durs. Par chance, ses cours théoriques lassant mon esprit mouvant de gosse de 10 ans assez rapidement, une guerre civile éclata quelques mois après le début de mon apprentissage, et la Marine nous réquisitionna comme toubibs.
Oui, par chance, je passais assez rapidement à la pratique. Aidant mon père opérer, amputer ou euthanasier marins sur marins, j'appris sur le tas et rapidement, au point de pouvoir parfois opérer tout seul, lorsque mon père était trop occuper. Un jour, un haut gradé passant à l'infirmerie remarqua ce jeune garçon de 11 à peine, qui s'affairait à amputer sans anesthésie un crétin qui avait laissé sa blessure se gangréner. D'un geste sûr, ledit gamin avait foutu une tatane au marin pour qu'il reste tranquille avant de prendre le scalpel, découper en un tournemain les chairs de la cuisse et prendre la scie à os, sans ciller.
"Hmpf...ça va être bruyant, ferme ta gueule..." Une voix fluette de gamin qui donnait des ordres comme s'il était un foutu chirurgien confirmé. C'avait dû impressionner le haut gradé qui alla voir mon père pour le convaincre de me laisser aller à l'université à mon jeune âge, tandis que je finissais de scier l'os et de recoudre c'te foutue plaie.


Et voilà qu'à quelque chose comme 10 ans et demi, je rentrais à l'université, le vieux ayant réussi à convaincre mon père qu'un gosse de mon talent pouvait aller très loin. Et effectivement, en deux semaines de travail, je rattrapais mes cours pépère et arrivait paré pour le second trimestre. Dieu que je haïssais tous ces cours de théorie, à croire qu'ils ne connaissaient que ça. Je torchais les études à la vitesse grand V et en quelque chose comme cinq ans, j'avais mon doctorat de toubib et de charcutier en poche, après avoir coupé l'envie de se foutre de la gueule du monde de certains de mes camarades qui m'avaient gentiment intimé l'ordre de m'enterrer pour qu'ils puissent tous être majors de promo. Vous imaginez bien qu'à peine sorti de la faculté, la Marine s'est empressée de se jeter sur moi pour me proposer un poste en tant que "Médecin de bord" d'un navire amiral en partance pour un conflit dans les mers du Nord. Après tout, ils font toujours ça, à la marine, et moi, comme les travaux-pratiques m'avaient manqués, je sautais sur l'occasion. Et après l'enfer des îles tropicales où la gangrène saute sur chaque blessures ouvertes trop longtemps, où la fièvre fait délirer les blessés qui se jettent sur le médecin pour le tuer, on était arrivés à l'enfer blanc. Le sang qui gèle sur les instruments, les rendant inutilisables, les engelures qui guettent les doigts laissés trop longtemps au dehors. Le froid, c'est chiant, quoiqu'on en dise. C'est à ce moment de ma vie que je commençais à voir le beau, l'artistique. Grâce à une personne, un toubib. Un vieux médecin de bord qui avait fait plus de guerres civiles et de batailles que la plupart des soldats de la marine. Lui et moi, entre deux opérations ou euthanasies, on eut d'innombrables discussions sur la mort, la beauté de la neige sanglante et sur d'autres sujets que l'être humain banal trouverait totalement inintéressants. Il mourut, d'une façon bête et violente
d'ailleurs. Un boulet de canon traversa le pont du vaisseau-amiral et faucha sa tête. Dur pour sa gueule, littéralement. J'appris qu'il était aussi membre des labo de recherche biologiques, un secteur qui me sembla assez intéressant. Je me trompais. Non pas que mon affectation y fut longue et chiante. Elle fut courte et horrible. Comprenez-moi, je n'ai rien contre l'euthanasie ou la mort, au contraire. Mais pas quand il s'agit de jeune enfants et que la mort est totalement inutile. Des expériences sordides sur l'augmentation de la force, de l'agilité, des sens...et d'autres conneries du même genre. Très intructifs, mais aussi inhumains. Au bout d'un mois de recherches, je zigouillais mes potes de laboratoire et devenait Hors-la-Loi.

Il y a quelques mois, alors que je trainais à Oglagla Fortress, je fus recruté par un pirate un peu taré du nom de Zombie Black Cross. Il avait l'air fun, donc j'ai accepté son offre d'emploi et ai déménagé mon barda dans la calle de son navire, assez beau comme navire ma foi.

But : Devenir le meilleur médecin de tout les temps, ne jamais laisser mourir ses coéquipiers et trouver le chemin de la vie éternelle.

Post RP : ( Facultatif, pour tester vos capacités RP )
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V. Geist
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MessageSujet: Re: HemogloBine   HemogloBine Icon_minitime1Mar 29 Déc - 19:36

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MessageSujet: Re: HemogloBine   HemogloBine Icon_minitime1

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