Voilà, pour mieux comprendre Lord Zéro, j'ai écrit ce petit rp. Il se compose de deux partie, l'histoire normale en italique et dont les paroles sont écrites normalement et les flash-backs qui sont en gras.
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La brume se faisait plus dense. Lord Zéro, à l'avant du bateau regardait devant lui d'un air froid, cette air glaçait toutes personnes s'approchant un tant soit peu de lui encore plus que la température ambiante qui devait frôler le moins dix. Pourtant, un homme s'approcha et s'adressa à lui.
"Tu es sûr que le QG de la marine est par là ?"
"Je n'ai jamais dit que l'on allait au QG de la marine...."
"Mais pourtant le capitaine t'a demandé de nous conduire au...."
"Ce que dit le capitaine, je m'en fiche complétement !"
L'homme tomba à terre, inanimé, Zéro rangea son fusil, encore chaud, dans son étui et reprit sa position initiale. Il sourit. Devant lui, à travers la brume, on pouvait discerner une île, presque plate, sans aucune habitation, ni végétation. Même si son île avait changé, il était heureux d'y revenir de temps en temps et il savait très bien que le capitaine ne pourrait rien lui dire, la Marine l'avait engagé pour avoir un jour les plans du Paperman et ne le pourrai le renvoyer qu'une fois qu'il leur l'aurait livré. Le vent se leva et fit battre sa mèche devant ses yeux, devant l'intensité de la bourrasque, Zéro rentra, la tête pleine de souvenir.
[Flash-Back On] C'était par une nuit d'hiver, où les étoiles étaient camouflés par des pants de nuages. Alors que Zéro se tenait sur le balcon ouest de sa chambre, entrain de confectionner à l'aide d'un vieux pistolets de la collection familiale ainsi qu'une dynamo et un ressort. Il l'avait conçu pour qu'il soit le meilleur pistolet au monde, capable de faire traverser ses balles à travers l'acier et de lancer si vite qu'un homme ne pourrait le voir. Alors qu'il apportait la touche final à son invention, c'est à dire le nom, il entrevu un homme du village qui entrait par effraction dans la somptueuse propriété, par jeu et surtout pour tester son arme, Zéro tendit le pistolet vers l'homme et tira. La balle fusa dans la nuit comme un faucon fusant vers sa proie et lui arracha la vie en une fraction de seconde. Le corps de l'homme tomba dans l'herbe, au pied de la stèle du soleil. Zéro mit alors le pistolet devant ses yeux et dit. [Flash-Back Off]
"Dorénavant, tu seras le Solarium."
Zéro ouvrit la porte de la salle à manger du bateau. Il attrapa un verre et se servit du vin avant de s'asseoir lourdement sur le sofa vert qui prenait beaucoup de place dans cette pièce. Tout en sirotant le contenu de son verre, il se mit à pleurer, tant de souvenirs d'un coup le rendait nostalgique et il ferma les yeux. Soudain, il entendit la porte s'ouvrir, il sortit de nouveau sur le gêneur en criant.
"Je ne suporte pas que l'on me voit sans sourire."
[Flas-back On] Il y a 5 ans de cela, Zéro était encore un enfant triste. Son visage était tout le temps renfermer et des larmes roulaient presque constamment sur ses joues. Sa vie était triste car ses parents ne faisaient pas attention à lui. Un jour qu'il s'était enfermé dans la bibliothèque pour essayer d'éviter son précepteur, il tomba alors, par hasard, sur un livre de mécanique. Après avoir lu ce petit livre en une heure à peine, il commença à fabriquer une arme, qu'il décida de baptiser "Flower". Alors qu'il actionnait le mécanisme de la petite arme, son précepteur entra et s'écroula presque immédiatement car Zéro avait tiré avec son engin, une balle de bazooka qu'il avait trouvé dans un tiroir au fond de la remise. La balle avait traversé l'abdomen du précepteur et le sang commençait à se répandre sur le parquet qui venait d'être ciré. Ses parents, alertés par le bruit, venirent dans la bibliothèque et son père, ancien fabriquant d'arme, le félicita. Il eu alors pour la première fois un grand sourire, qu'il quitta rarement, pour trois raisons : il avait fabriqué sa première arme, tué sa première personne et surtout, ses parents avait enfin fait attention à lui.[Flash-Back Off]
Zéro avait encore été nostalgique et avait encore vécu un flash-back, il frotta ses yeux rougis et endoloris, remis son sourire en place et sortit dehors comme si rien ne s'était passé. Justement, le bateau était sur le point d'accoster. Il monta vers la barre et la déplaça légerement vers la gauche pour que la bateau accoste sans problème dans la crique. La température avait encore baissé et le vent redoublait d'intensité mais Zéro s'en fichait. Il sauta du bateau pour atterir sur la terre brûler puis avaça vers le Nord pour pouvoir arriver vers un pilier, seul édifice qui avait survécu au drame, posté au milieu de l'île. Il s'adossa à ce dernier et les souvenirs le submèregèrent de nouveau.
[Flas-back On] Par une belle journée d'été, alors agée de 13 ans. Zéro s'était adossé ici, pour admirer le paysage. Le bruit de l'eau le tranquilisait, c'est pour ça qu'il se sentait si bien à cette endroit. Une fontaine colossale se tenait derrière lui, elle représentait une jeune sirène, au cheveux long et un peu bouclés, qui tenait dans ses mains une jarre, pleine d'eau et énorme, qui crachait en continu del'eau dans le bassin à ses pieds. Devant lui se tenait une rivière, au flots calme, dont le fond était recouvert de cailloux jaunes qui contrastaient avec le ciel rouge. Pour finir, un petit lac à l'eau cristaline se jetait dans la mer avec lenteur et délicatesse. Les mouettes cièrent au dessus de sa tête, il la leva et vit ses oiseaux blancs, immenses et graciles, voler avec aisances, ballotter par le vent.[Flash-back Off]
Un cri de mouette, plus fort que les autres, le fit sortir de ses pensées, ce cri provenait de derrière la nappe de brume. Il avança encore plus vers le Nord, en pensant au cieux et aux vols, et il se promettait qu'il arriverait à voler un jour. Justement il arrivai à l'emplacement de son ancien laboratoire. Par terre, entre les rares décombres, il découvrit une feuille, dont les bords étaient un peu brûlés. Malgrès cela, il discerna les contours d'une invention qu'il avait créer juste avant ses 14 ans. C'était une machine volante.
[Flash-back On] Zéro se tenait sur un balcon, dont la végatation luxuriante montrait qu'elle servait aussi de serre, une machine à côté de lui. Il avait passé des jours et des nuits entières à la concevoir. Il allait enfin pouvoir voler, mais le risque ne cédant pas à la précipitation, il voualit d'abord s'assurer qu'elle ne serait pas risqué. Il avait donc placé une fille du village, qu'il avait endormi à l'aide d'un somnifère puissant, sur le siège de son étrange vaisseau. Il déplia les ailes de tissus et poussa la machine. Elle défonça la rembarde et vola sur quelques mètres avant de descendre dangereusement vers une grotte connues pour ses stalagtites éfilés et nombreuses, une plainte surgit dans la nuit puis le silence revint. On ne la revit plus jamais.[Flash-back Off]
Zéro s'approcha ensuite du centre de l'île où des monticules de morceaux de férailles trônaient. Les reflets argentés et dorés de ces-derniers attiraient Zéro qui ne pût résister à revoir ses morceaux de fer, symboles d'un souvenir plus récent. Il frotta avec sa manche le morceau le plus gros pour faire apparaître, graver pour le reste des temps, en lettres fines, le nom "Paperman". En effet, il s'agissait des décombres de sa plus puissante invention, qui avait été détruit sous le choc de sa propre force. Cette invention attirait la convoitise de la Marine mais Zéro ne se rappellait plus des plans. Pourtant, il se rappellait de ce moment de fureur exessive où il avait construit ce bijou de la mécanique.
[Flash-back On] Zéro était revenu sur son île par ses propres moyens, car aucun marin n'osait l'emmener. Il ne comprenait pas pourquoi alors que cette île était connue pour son vin et ses fêtes. Mais en mer, sur son canots fabriqués avec des morceaux de bois récupérés, il découvrit bien vite que quelquechose avait changé. Le ciel rouge disparaissait au fur et à mesure qu'il avançait, pour laisser place à une brume. Il croisa un bateau pirate au voiles rouges avant de rentrer dans la côte. Autour de lui, il n'y avait plus que désolation, seul des morceaux de férailles et un pilier restait. Zéro comprit alors tout, et les larmes brouillant sa vue, il commença à dessiner une arme qui lui permettrait de détruire le bateau pirate qu'il avait croisé, qui était sûrement le coupable de ce méfait, et les îles aux alentours, en effet, lorsqu'il déclencha l'arme et que le bateau et les îles se détruirent, il cria au risque de s'étouffer.
"Si mon île a été détruite, que toutes les îles le soit !!!!!"
Et depuis ce jour, Zéro décide de prendre le contrôle du monde pour pouvoir, à son tour, détruire toutes les îles du globe.[Flash-Back Off]
Zéro souleva un morceau d'acier, sous lequel se trouvai un papier. Il le prit, dessus était marqué le mot "Paperman" et en dessous se trouvait les plans ingénieux du canon. Zéro tira et le papier s'embrasa.
"Il n'est pas encore temps qu'une arme si puissante soit créer."
Et il repartit sur son bateau qui s'éloigna de cette île dont personne n'ose s'approcher et où l'homme le plus sadique et souriant qu'il soit, devient nostalique et pleurt tout au long de sa visite. Le bateau disparu dans la brume opaque et les morceaux calcinés des plans s'envolèrent dans le ciel où leur créateur voulait tant aller.
Sujet: Souvenir d'un psychopathe 
Lun 20 Juil - 13:19
