C'était un après midi comme tout les autres à Baria Town, vraiment comme tout les autres ? non, une navette venait d'accoster au port et des voyageurs en sortirent dont l'un d'eux, un charmant jeune homme accompagné d'une ravissante créature, intéressons nous à ces deux tourtereaux.
Ah Kuran j'ai vraiment passé un bon moment avec toi, pourra t'ont ce revoir ?
Kuran sourit puis passa sa main dans les cheveux blonds de la femme et lui répondit :
Si tu est libre ce soir pourquoi pas ?
La femme regarda le jeune homme d'un air un peu déçus et lui dit :
Je ne peut pas ce soir, avec mes parent, cela fait si longtemps qu'il ne m'ont pas vu, ça leur briserai le cœur que je ne sois pas là.
Kuran la regarda attentivement, jeta un coup d'œil un peu autour de lui puis lui répondit :
Eh bien on verra cela demain, tu n'a pas de repas de famille j'espère ?
Non ne t'inquiète pas, tiens je te donne l'adresse de chez mes parents, je serai chez eux.
Elle lui donna un morceaux de papier plié en quatre et ils s'embrassèrent avant de ce dire au revoir.
Kuran ce mit à marché en direction des rues marchandes, mais sur le chemin il fût intrigué par un stand qui vendait des lampes à huiles, le vendeur criait tout haut qu'il avait une lampe magique, le jeune homme ce rapprocha et le marchand lui lança direct son baratin commercial.
Cette lampe est magique ! il n'y en a pas deux au mondes. Vous n'avez qu'à la frottez pour qu'un de vos vœux ce réalise et puis c'est une affaire, seulement dix millions de berrys. Certains disent que je suis un menteur, mais vous vous semblez assez intelligents pour comprendre que ce que je dit est vrai.
Kuran regarda le vendeur puis la lampe, c'était une vielle lampe en cuivre cabossé.
Dans toutes tes paroles il n'y en a qu'une qui est véridique, je te laisse chercher laquelle mon ami.
Kuran s'éloigna, laissant le vendeur avec sa lampe qui essayé toujours de comprendre ce qu'il lui a dit. Un peu plus loin, une personne agrippa la bras de Kuran et le tira, il eu le réflexe de sortir sa lame de son bras libre. C'était un autre marchand qui essayé de tiré Kuran vers son stand mais il le relâcha dés qu'il vu la fine lame d'acier sortir de son fourreau et prit les jambes à son cou.
*Les personnes ici n'ont vraiment pas l'air d'être socialisé, j'ai bien failli lui ouvrir la panse à celui là*
Le jeune aventurier continua encore sa route, un trentaine d'autre vendeurs essayèrent de lui refiler leur camelote, il y en a même un qui vendait un bouton de chemisier qui sois disant avez le pouvoir d'augmenter la chance de son possesseur. Une heure et quelques dizaines de marchands tard Kuran se trouvait fasse à une auberge, toute cette route lui avait desséché le gosier et il décida donc d'y pénétrai.
L'intérieur était bien différent du reste de la ville, c'était la première fois depuis quelques heures qu'il ne voyait pas des étals de marchand à perte de vue. Le lieu était plutôt bien aménager, un sol bien propre mis à part un ivrogne qui était couché par terre, des tables de jeux disposé au fond de la salle mais ce qu'il remarqua le plus c'était une magnifique femme brune assise au comptoir, Kuran prit le siège à coté d'elle et commanda deux cocktails puis commença la discutions.
J'espère que vous aimez les cocktails mademoiselle.
La femme ce retourna vers lui.
A qui ai-je l'honneur ?
Kuran la regarda dans les yeux qui était d'un bleu étincelant tandis que le barman servit les deux boissons.
Je m'appelle Kuran, et vous charmante brune ?
La fille sourit légèrement devant ce compliment et lui répondit :
Appelez-moi Mello, vous êtes nouveau Baria ?
Kuran fût un peu étonné de la question.
Oui, comment le savez vous ?
Mello lui répondit en jetant un coup d'œil derrière Kuran.
Car ici tout le monde sais que je suis la petite ami de Carlo le matraqueur, vous devriez partir avant qu'il ne vous voit, il est extrêmement jaloux.
Kuran répondit en souriant.
Quand je vois vos beau yeux, je n'ai peur de rien.
Mais une voix brisa l'ambiance.
Qui c'est est l'enfoiré qui parle à ma Mello ?
Kuran se retourna lentement avec un léger sourire qu'il perdu très rapidement quand il vit la carrure de celui qu'on appelez "Le matraqueur", c'était un homme massif, mesurant facilement plus de deux mètres dix avec des bras aussi épais qu'un tronc d'arbre. Le monstre se rapprocha de Kuran.
Eh euh on peut s'arranger si tu .....
Kuran évita une droite que lui envoya Carlo et il riposta en lui donna un coup de pied dans le torse qui ne le fit même reculer. Le jeune homme recula cherchant un moyen de pouvoir vaincre cette machine qui avancer toujours vers lui d'un pas lourd.
Kuran pointa le doigt derrière le matraqueur en hurlant.
Oh Attention !
Le géant tomba dans le piège et se retourna, pendant que Kuran prit un tabouret et le brisa sur le crane de ce nigaud mais ceci sembla inutile, il ne semblait pas craindre la douleur, il fallait trouver autre chose.
Carlo tenta un autre assaut mais Kuran fit une roulade et passa entre ses jambes.
*Hum la situation ce complique, si il me touche une seul fois je serai sans aucun doute KO, éssayons de rusé*
Eh un de tes lacet est défait !
Il retomba encore dans le piège et se mit à regardait ses chaussures pendant que Kuran passa dans son dos.
Mais j'ai pas de lacet !
Il releva la tête mais ne vit plus le jeune homme, il le chercha mais pendant ce temps kuran prit de l'élan, couru, glissa sur ses genoux et décerna un coup de poings dans l'arrière du genoux du géant qui chuta violemment par terre.
Alors mon gros déjà fatigué ?
Kuran voulut sur lui pour qu'il puisse enchainé les coups de poings mais Carlo ce releva, l'attrapa par le cou et le leva afin qu'il ne puisse plus toucher le sol et commença à l'étrangler .
Alors petit homme on fait moins le malin hein ?
Kuran ne savait plus quoi faire, il était prisonnier de la poigne de ce monstre mais dans un éclair de génie, il décida de donner un grand coup de pied "là où ça fait mal". Le matraqueur lâcha Kuran et s'effondra en gémissant puis se mit à rampait jusqu'à la sortie.
Kuran retourna voir Mello.
Alors j'étais comment ?
La jeune femme le regarda en souriant.
Magnifique, je me demande comment j'ai put sortir avec cette abruti.
Tout le monde fait des erreurs, tout le monde sauf moi bien sur.
Mello se mit à rire puis regarda attentivement Kuran.
Maintenant il faut un successeur à Carlo.
Kuran afficha son plus beau sourire.
Ça peut toujours s'arranger.
Sujet: Mission : On ne m'insulte pas ! 
Mer 30 Déc - 5:13
